Beverly Glen-Copeland
Mon Shazam
Hier, je regardais un téléfilm, en faisant la patate sur mon canapé, je fais très bien la patate, si si je vous assure !
Je vous épargne le titre du film sans grand intérêt, mais le fond de l’histoire se passe sur des paysages péruviens, et rien que cela vaut le coup d’œil. Puis arrive le générique de fin et la musique qui l’accompagne.
Elle me saisit, me surprend, j’apprécie sa douceur, alors je dégaine mon portable et je shazame plus vite que mon ombre.
Je découvre un chanteur, Beverly Glen-Copeland, pour ma part inconnu dans ma discothèque.
Né à Philadelphie. Carrière au Canada, il est l’un des premiers étudiants noirs à intégrer l’université de Montréal en 1961.
Son intonation de voix me fait penser étrangement à celle de Joan Baez, surprenant pour un homme, mais si vous êtes curieux et bien vous comprendrez le pourquoi.
En attendant, je partage « Color of Anyhow»
Ce petit air seventy qui ne cesse de tourner dans ma tête :
Let it go
Let it go down
It’s okay
Let it come
Let it take all
Thoughts away
A bientôt pour un prochain shazam... ou pas 😀
Il y a quelques jours, j'avais écrit un commentaire, mais finalement même ça, j'arrive à le foirer puisqu'il n'y est pas... L'habitude, certainement... Donc, qu'est-ce que je disais, je ne sais plus exactement, je n'ai plus les mêmes mots en tête d'il y a 2 jours. J'avais dû écrire un truc du genre c'est chaud comme un café noir, c'est mélancolique comme un whisky sans glace, tout dépend si tu es d'humeur matinale ou vespérale.
RépondreSupprimerBon courage. Café.
Et moi donc ! Ca fait tellement longtemps que je n'ai pas écrit sur mon blog poussiéreux que j'ai faillit abandonner tant j'ai galéré grrrrrr.
RépondreSupprimerOui... chaud et mélancolique me conviennent pour sa voix et mélodie.
Bon café